LA DÉMOCRATIE EST EN DANGER.

Non cette fois cela n´est pas la NUPE ou le tribun du tout et de son contraire, mais la réalité. Plus grand-chose ne fonctionne comme cela devrait. Les finances du pays sont en berne depuis des décennies,  l´hôpital et l´Éducation nationale en décrépitude et aujourd´hui c´est la démocratie elle même qui est en danger.

Le constat est terrible. Le pouvoir des juges permet d´interpréter les lois avec pour conséquences que les squatters ont tous les droits ou que les délinquants criminels sont des malades mentaux à soigner, surtout s´ils ont entendu des voix ou fumé des joints. La délinquance est devenue une incivilité et la loi du plus fort règne dans certains quartiers. La souveraineté populaire est contredite quand elle ne correspond pas aux souhaits de nos dirigeants et Bruxelles suit le mouvement, au point même de contredire les traités qui en sont sa justification d´être.
A cela s´ajoute la bureaucratie excessive avec pour conséquence la gabegie des finances publiques. Les minorités, qui sous réserve de crier fort, ont plus de pouvoir que les majorités en générales silencieuses. Les grandes réformes sociétales dont l´urgence est évidente, sont remises en cause par quelques minorités sous réserve d´être syndiquées.

 Tous les sondages montrent que la grande majorité est contre ce dévoiement indirect des principes de la démocratie. Mais comment changer les choses sans que nos politiciens ne se contredisent?
La seule solution serait de réformer le système et reformer les structures même de la démocratie, lesquelles sont détournées à volonté.
L´Europe n´est sur ce point pas une aide, tant elle-même détourne la démocratie à volonté selon ses souhaits. Sa présidente en est le meilleur exemple et ne se gêne pas de l´avouer publiquement, en précisant qu´il convient de donner des leçons à ceux qui ne pensent pas correctement.

Vous l´aurez compris, vous êtes les dindons de la farce.
Continuez à payer en silence votre tombe, nous nous chargeons de votre enterrement.