LA DÉFAITE DE LA PENSÉE.
Si vous pensez que la propagande c´était autrefois, vous vous trompez. Elle est devenue anti tout, la tyrannie numérique sécrétant des esclaves. Après le siècle des totalitarismes, qu´il soit national-socialiste ou communiste, vient celui de la servitude numérique.
Les élans de générosité sont incohérents. Ils combattent les dégâts sociaux dont ils sont les moteurs les plus acharnés. Alors on se sent libres mais au sein d´un conformisme extrême, conforté par les grands groupes qui en profitent. Seul dans l’ère du vide, la servitude intellectuelle est possible.
Les pensées ne sont plus que des slogans. L´histoire l´écriture et la culture sont des freins. L´Education nationale fait de ses élèves une masse grouillante, malléable à merci par quelques slogans. Les grands publicitaires l´ont parfaitement compris. Les marches des fiertés deviennent une censure au lieu d´être une acceptation de la diversité. Le formatage des esprits permet de les aliéner et se faisant, le transhumanisme a parfaitement réussi.
La déviance sociale, de nos jours, c’est d’avoir un esprit libre, mesuré et cultivé, être courtois, respecter l’autre et honorer la mémoire de ceux qui nous ont précédés. Très exactement l´inverse du vulgaire que le monde érige vertu.Préférons donc la liberté à la servitu