LES DÉGÂTS DE LA THÉORIE DU GENRE.
Les hommes ont un rapport à la reproduction très éphémère soumis à l´instinct de l´immédiat, les femmes certes aussi, mais avec leurs secrets de femmes pour cultiver leurs jardins d´Eden qui leurs est propres. Et voilà que tout cela est remis en question, travestie de concepts sociaux. Alors celles qui se disent être les nouvelles sorcières, de nous expliquer que la liberté est au-dessus de la nature, que la nature s´est trompée sous réserve de donner à notre « moi profond » priorité. Et certains de s´engouffrer dans un dédale d´arguments sociologiques pour justifier leurs dires, en prétendant que le ressenti est plus important que tout le reste.
Problème, le ressentie est changeant au grés des âges et des expériences. On peut lui donner une certaine importance, mais on ne peut admettre qu´on lui donne la liberté de travestir la nature ou de l´influencer. Or c´est très exactement ce que fait la théorie du genre, quand elle est appliquée à des enfants à peine pubères et influencés par un environnement délétère.
Les pays scandinaves ont eu la sagesse de revenir à plus de sérieux et contredisent la théorie du genre, considérant que le temps ne se limite pas à l´immédiat et qu´il faut le respecter en lui laissant la possibilité d´évoluer.
Mais la vindicte sectaire de ceux qui veulent nous imposer leurs façon de penser fait rage. Et nos administrations publiques de s´engouffrer dans cette mode de pensées, sous prétexte que le seul moyen d´éliminer les fractures de la société est de tout unifier. Comment ? En laissant faire sous prétexte de respecter ou en espérant supprimer toutes les différences.
Par chance personne n´a encore trouvé le moyen d´égaliser tout le monde, seule la mort le fait, mais alors il est déjà trop tard.